ÉPICTÈTE / Entretiens / Les Stoïciens / Bibliothèque de la Pléiade / nrf Gallimard 1962
« Ne vous étonnez pas que les autres animaux aient à leur disposition tout ce qui est indispensable à la vie du corps, non seulement la nourriture et la boisson, mais le gîte, et qu'ils n'aient pas besoin de chaussures, de tapis, d'habits, tandis que nous, nous en avons besoin. Car il eût été nuisible de créer de pareils besoins chez des êtres qui n'ont pas leur fin en eux-mêmes, mais sont nés pour servir. » <I xvi p.845>
Antoine de RIVAROL / Esprit de Rivarol [oeuvres diverses] / Paris 1808 [BnF cote Z-24383]
« Le chat ne nous caresse pas, il se caresse à nous. » <Anecdotes et bons mots p.152>
Georg Christoph LICHTENBERG / Aphorismes / Collection Corps 16 - Éditions Findakly 1996
« Il plut si violemment que tous les porcs furent propres et tous les hommes crottés. » <p.32>
« Celui-là travaillait à un système de l'histoire de la nature où il avait classé les animaux d'après la forme de leurs excréments. Il avait établi trois ordres : les cylindriques, les sphériques, ceux qui ont la forme de gâteaux. » <p.56>
Georg Christoph LICHTENBERG / Le miroir de l'âme / Domaine romantique José Corti 1997
« À la manière des Métamorphoses d'Ovide, une chauve-souris pourrait être considérée comme une souris qui, poursuivie par une autre trop libidineuse, pria les dieux d'avoir des ailes ; ailes qui lui furent accordées. » <D 65 p.201>
« Le chien est l'animal le plus vigilant, bien qu'il dorme toute la journée. » <F 76 p.282>
« Le plus sûr lieu pour une mouche qui ne veut point mourir écrasée est la tapette elle-même. » <J 415 p.418>
Jean-Louis-Auguste COMMERSON / Pensées d'un Emballeur (2) / Martinon 1852
« Le rossignol est un ténor léger qui fait une pose sur le sol lorsqu'il est fatigué des airs. » <p.32>
« Les marmottes surtout sont des bêtes de somme. » <p.45>
Georges ELGOZY / Le Fictionnaire ou précis d'indéfinitions / Denoël 1973
« Comptable : bête de sommes. » <p.73>
Edmond et Jules de GONCOURT / Journal (t.1) / Robert Laffont - Bouquins 1989
« Penser qu'on ne sait pas le nom du premier cochon qui a trouvé une truffe ! » <15 décembre 1857 p.320>
« Il y a ici un vieux chat qui ne joue plus, qui ne fait plus le gros dos et qui se sauve, quand il voit un enfant : voilà l'expérience. » <juin 1859 p.464>
« L'enfant n'est pas méchant à l'homme, il est méchant aux animaux. L'homme, en vieillissant, devient misanthrope et charitable à la nature. » <29 mars 1862 p.794>
Edmond et Jules de GONCOURT / Journal (t.3) / Robert Laffont - Bouquins 1989
« Ce regard du chat, profond, mystérieusement investigateur, presque inquiétant par sa fixité, cet oeil ouvert sur vous comme un appareil qui prend votre image, doit faire penser que les chats sont de meilleurs jugeurs des gens qui les approchent que les chiens. » <29 avril 1893, p.821>
« On a calomnié les chats. Ils ont une tendresse, et une tendresse intelligente. Quand je suis bien portant, la chatte saute sur le pied de mon lit et s'y tient coite ; quand je suis malade, elle se couche contre ma poitrine, et comme elle a horreur de la barbe, elle me lèche de temps en temps le bout du nez comme un baiser. » <14 mai 1894, p.961>
Lorédan LARCHEY / L'Esprit de tout le monde - Joueurs de mots (1891) / Berger-Levrault 1892
« Dumas se plaisait à entretenir une vraie ménagerie : le coq César, le chat Mysouf, le vautour Jugurtha, sans compter les singes. - Je déteste les bêtes, disait-il, mais j'adore les animaux. » <p.220>
Lorédan LARCHEY / L'Esprit de tout le monde - Riposteurs (1893) / Berger-Levrault 1893
« Rendant à qui l'aimait affection pour affection, Beaumarchais avait fait graver sur le collier de sa levrette : Je m'appelle Florette, BEAUMARCHAIS m'appartient. » <p.187>
Pierre François LACENAIRE / Mémoires / José Corti 1991
« Quel est ce bel et noble animal qui traverse la plaine haletant de fatigue, les yeux égarés par la frayeur, et poursuivi par vingt autres animaux, suivis de quelques hommes qui les ont dressés à cet horrible manège ? c'est un pauvre cerf, qu'une meute va forcer. Elle va le faire passer devant le chasseur ; il pourrait le tuer du coup, s'il voulait, et terminer son agonie ; mais non, ce serait abréger ses plaisirs. C'en est fait,... il est aux abois, l'approche de la mort lui arrache des larmes... Il demande grâce, point de pitié, on va l'égorger ; mais avec la même précision qu'un maître d'hôtel met à découper une volaille rôtie, on le dépèce vivant. Hommes, vous avez inventé des manières de tuer les animaux proportionnées à la délicatesse de votre palais. Vous êtes plus féroces que moi. Oui, moi qui ai tué, voulez-vous que je vous dise une chose : je n'ai jamais pu voir souffrir de sang-froid un être animé, quel qu'il fût. La mort ne me semble rien, soit que je la regarde comme servant de transition à une autre vie, soit qu'elle doive amener un anéantissement complet ; mais j'ai horreur de la souffrance, plus encore pour les autres que pour moi, parce que je me suppose plus de force qu'eux pour la supporter. La vue de la souffrance me torture, lorsqu'elle est le résultat d'un accident de nature ; elle m'indigne, quand elle est imposée par une créature à une autre, quelle qu'elle soit, et je m'indigne plus encore en voyant un agneau égorgé par un boucher qu'un homme dévoré par un tigre. Honte soit au premier philosophe qui déclara du haut de sa science que l'animal était un mécanisme, pour donner ainsi le droit à l'homme de le torturer à son plaisir, comme un enfant s'amuse à faire crier les ressorts d'une pendule ! » <p.116>
Victor HUGO / Faits et croyances / Océan / OEuvres complètes / Robert Laffont - Bouquins 1989
« Frédérick Lemaître me contait hier qu'il entrait un jour dans un bouge, auberge de rouliers pour y passer la nuit. Il a demandé en entrant : Y a-t-il des puces ici ? L'hôte a répondu gravement : - Non, Monsieur. Les poux les mangent. » <1840 p.193>
Henry D. THOREAU / Marcher (1862) / Désobéir / Bibliothèques 10/18 (2832) Éd. de L'Herne 1994
« La perdrix aime les pois, mais pas ceux qui l'accompagnent dans la casserole. » <p.109>
Alphonse KARR / Une poignée de vérités / M. Lévy frères 1866
« Personne plus que moi n'a le droit de dire la vérité aux chiens. J'ai appartenu pendant dix années à un très beau chien de Terre-Neuve ; entre nous, les relations ordinaires étaient renversées : j'étais soumis, humble, fidèle comme un chien ; il était capricieux, bizarre, ingrat comme un homme. C'était moi qui étais son ami. Eh bien ! après une liaison de dix ans, il a entrepris par deux fois de me dévorer, et m'a forcé de résumer ainsi notre amitié : 1e les chiens ne valent pas mieux que les hommes ; 2e mon chien m'aimait comme on aime le bifteck. » <p.87>
Paul MASSON / Pensées d'un Yoghi / Paris, L.Vanier 1896 [BnF]
« Y a-t-il rien de plus mélancolique que de voir un couple de canards s'égarer dans un champ de petits pois ? » <97 - p.24>
Jonathan SWIFT / Pensées sur divers sujets loraux et divertissants / OEuvres / Bibliothèque de la Pléiade / nrf Gallimard 1965
« On dessine toujours les éléphants plus petits que nature, mais les puces toujours plus grandes. » <p.592>
Le Comte de LAUTRÉAMONT / Les chants de Maldoror (1869) / GF 528 - Flammarion 1990
« L'éléphant se laisse caresser. Le pou, non. » <II 9 p.158>
Paul LÉAUTAUD / Journal littéraire / Mercure de France 1986
« Voici de bien jolis traits de l'amour des bêtes. Vallette et Rachilde n'ont pas seulement comme animaux la chatte qu'ils ont sauvée de l'eau il y a deux ou trois ans. Rachilde élève également sur des branches de mimosa deux coccinelles. Mlle Vallette a un escargot. Ils ont encore, dans leur salle à manger, une simple mouche fort bien apprivoisée, que les fenêtres ouvertes ne font pas du tout partir, qui vient manger dans la main. Que de choses mystérieuses cela évoque. Une simple mouche, s'apprivoiser ainsi, rester ainsi à demeure, venir ainsi manger tout comme une bête domestique. Nous le disions ensemble ce matin, Vallette et moi. À connaître ces choses, on arrive à ne plus oser marcher de peur de tuer quelque chose. Je lui disais qu'à la campagne, j'ai vu quelquefois la route barrée d'un large ruban de fourmis qui traversaient, prenant mes précautions pour n'en écraser aucune. De même pour les limaces, dans les sentiers des prés. Hélas ! les voitures, les paysans ? » <11 février 1908 I p.492>
Georges COURTELINE / Philosophie / OEuvres / Robert Laffont - Bouquins 1990
« Il est communément admis que le côté "Art" des corridas en sauve le côté monstrueux. Je connais l'argument : il avait déjà cours au temps du roi Salomon alors que le sacrificateur précipitait dans la gueule embrasée de Moloch des enfants hurlant d'épouvante. La vérité est qu'on parle d'art plus facilement qu'on n'en fait, et qu'il est plus facile d'en faire avec le martyre des bêtes qu'avec les sept notes de la gamme, les sept couleurs de l'arc-en-ciel, les vingt-cinq lettres de l'alphabet ou le contenu d'un baquet de glaise. » <p.810>
Alphonse ALLAIS / Le bec en l'air (1897) / OEuvres anthumes / Robert Laffont - Bouquins 1989
« - Moi qui adore la plupart des bêtes, j'ai toujours professé une ardente répulsion pour le chien, que je considère comme l'animal le plus abject de la création. Le chien est le type de l'animal larbin, sans fierté, sans dignité, sans personnalité. ... Une dame pleurarde et sentimenteuse interrompit ma diatribe : - Ôh ! le bon regard humide des bons toutous ! larmoya la personne. Comme ça vous console de la méchanceté des hommes ! Il n'en fallut pas plus pour me mettre hors de moi. Les bons toutous ! Ah ! ils sont chouettes, les bons toutous ! Le chien est aimant et fidèle, dit-on, mais quel mérite à s'attacher au premier venu uniquement parce qu'il s'intitule votre maître, beau ou laid, drôle ou rasant, bon ou mauvais ? On a vu des chiens, dit-on encore, se faire tuer en défendant leur maître contre un bandit. Parfaitement, mais le même chien aurait pu être aussi bien tué en attaquant l'honnête homme pour le compte du bandit, si ce bandit avait été son maître et si l'honnête homme avait détenu l'indispensable revolver. Le chien est un pitre qui fait le jacques pendant des heures, pour avoir du susucre. C'est un lâche qui étranglerait un bébé sur le moindre signe de sa fripouille de patron. Dans tout chien, il y a un fauve, mais un fauve idiot qui, sans l'excusable besoin d'une proie personnelle, fait du mal pour la quelconque lubie d'un tiers. » <p.690>
« [...] on dit toujours : Lent comme un escargot ! C'est bête ! L'escargot ne marche-t-il pas ventre à terre ? » <p.767>
Alexandre VIALATTE / Chroniques de La Montagne (2) / Robert Laffont - Bouquins 2000
« J'ai un gros livre sur l'escargot, on l'y envisage sous toutes ses faces : anatomique, juridique, religieuse, commerciale, politique, que sais-je, on l'y dissèque, on l'y psychanalyse ; il en ressort un théorème fondamental, une vérité biologique essentielle, bref un principe d'où tout le reste découle : l'escargot ne recule jamais. "Faire face ? toujours", c'est un chasseur alpin. » <660 - 5 janvier 1966 p.430>
« Le cheval n'écrit jamais. Jamais. Il parle peu et n'écrit jamais. Les Mémoires d'un âne sont d'un âne. (Encore fut-il beaucoup aidé par la bonne comtesse de Ségur.) Il n'y a pas de Mémoires d'un cheval. Pas même de fable express ou de description de bataille. En matière de littérature, il n'y a rien à tirer du cheval. » <770 - 26 mai 1968 p.665>
Paul-Jean TOULET / Journal et voyages / OEuvres complètes / Robert Laffont - Bouquins 1986
« Il ne faut pas vouloir la mort du pêcheur, fût-il à la ligne. » <p.1028>
Alfred JARRY / La chandelle verte / OEuvres / Bouquins, Robert Laffont 2004
« Il est dit de la chasse qu'on l'ouvre et qu'on la ferme ; mais les seuls endroits où il reste du gibier sont soigneusement fermés, toujours, au simple contribuable : nous entendons les chasses présidentielles et le Jardin des Plantes. » <6-12 septembre 1903, p.1087>
François COPPÉE / Promenades et Intérieurs / Paris A. Lemerre 1920 [BnF]
« Oh ! comme les oiseaux doivent mourir l'hiver ! Pourtant, lorsque viendra le temps des violettes, Nous ne trouverons pas leurs délicats squelettes Dans le gazon d'avril, où nous irons courir. Est-ce que les oiseaux se cachent pour mourir ? » <p.7>
Sacha GUITRY / Jusqu'à nouvel ordre / Cinquante ans d'occupations / Omnibus Presses de la Cité 1993
« Le manque de fierté du chien, sa bassesse et sa peur l'ont fait choisir par l'homme, entre tous les autres animaux, pour lui être "fidèle", c'est-à-dire servile, pour lui permettre d'exercer sans contrôle sa tyrannie et pour le défendre par ses cris. Ses cris, à l'approche du danger, avertissent l'homme et démontrent le peu de courage du chien. Le chien ne défend pas l'homme : il l'appelle à son secours. » <p.34>
Paul VALÉRY / Cahiers I / Bibliothèque de la Pléiade / nrf Gallimard 1973
« Les animaux sont les êtres qui n'ont pas plus d'esprit que de moyens. En quoi ils sont justes et mesurés et toujours dignes dans leurs actes (à l'exception de ceux qui ont quelque ressemblance avec l'homme et qui paraissent agités, importuns, lubriques, curieux). » <Philosophie p.602>
Henry de MONTHERLANT / Service inutile / Essais / Bibliothèque de la Pléiade / nrf Gallimard 1963
« J'aime les animaux. C'est d'abord, je crois, parce qu'ils ne parlent pas. "Du temps que les bêtes parlaient..." Ah, pour Dieu, pas ça ! Il est bien probable que les animaux sont aussi sots que les hommes ; ils nous donnent souvent lieu de le croire ; mais leur mutisme leur interdit de sérieusement rivaliser. » <Pacte de sécurité, p.638>
Emil CIORAN / Écartèlement (1979) / OEuvres / Quarto Gallimard 1995
« Au Zoo. - Toutes ces bêtes ont une tenue décente, hormis les singes. On sent que l'homme n'est pas loin. » <p.1452>
Emil CIORAN / Carnets 1957-1972 / nrf Gallimard 1997
« Si le chien est le plus méprisé des animaux, c'est que l'homme se connaît trop bien pour pouvoir apprécier un compagnon qui lui est si fidèle. » <mars 1964 p.215>
« Le cafard est universel. Même les poux doivent le connaître. Aucun moyen de s'en prémunir. » <10 mars 1967 p.477>
Ambrose BIERCE / Le Dictionnaire du Diable (1911) / Éditions Rivages 1989
« Chat n. Automate doux et indestructible fourni par la Nature pour prendre des coups de pied quand quelque chose ne va pas dans le cercle familial. » <p.44>
« Singe n. Animal arboricole qui se sent également très à l'aise dans les arbres généalogiques. » <p.262>
Roland TOPOR / Pense-bêtes / Le cherche midi éditeur 1992
« Qui aime un chat aime tous les chats. Qui aime son chien n'aime pas les autres. » <p.22>
« La corrida à visage humain : les poseurs de pansements interviennent après les banderilleros, et avec quelle adresse ! Le Mercurochrome ajoute à la couleur locale. » <p.122>
COLUCHE / Pensées et anecdotes / Le cherche midi éditeur 1995
« La navette qui a explosé avec sept hommes dedans : si ç'avait été sept singes, les expériences seraient interdites. » <p.210>
Richard DAWKINS / Le gène égoïste / Editions Odile Jacob (Opus 33) 1996
« Beaucoup d'entre nous répugnent à l'idée d'exécuter des criminels, même les plus horribles, alors que nous sommes prêts à cautionner joyeusement l'abattage, sans procès, d'animaux gênants, aussi petits soient-ils. D'ailleurs, nous tuons des membres d'autres espèces inoffensives à des fins de récréation et d'amusement. Un foetus humain, qui n'a pas plus de sentiment humain qu'une amibe, bénéficie d'un respect et d'une protection légale de loin plus importants que le chimpanzé adulte. Pourtant, le chimpanzé sent et pense, et - selon une expérience récente - peut même apprendre une forme de langage humain. Le foetus appartient à notre espèce, en vertu de quoi on lui accorde instantanément des privilèges spéciaux et des droits. Je ne sais pas si on peut mettre l'éthique de "l'espécéisme", pour reprendre le terme de Richard Ryder, sur le même plan que celle du "racisme", mais ce que je sais, en revanche, c'est qu'elle n'a pas de base solide en biologie de l'évolution. » <p.28>
Léo CAMPION / Le petit Campion - Lexique encyclopédique illustré / J & R Sennac Paris 1947
« Castor : Quadrupède rongeur qui construit sa maison avec sa queue, ce qui n'est pas à la portée de tout le monde. » <n.p.>
« Vache à lait : La vache à lait est issue du croisement du Veau d'Or et de la vache enragée. » <n.p.>
« Ver solitaire : ver à soi. » <n.p.>
Théodore MONOD / Et si l'aventure humaine devait échouer / Grasset & Fasquelle 2000
« Il y a, pour moi, une pierre de touche des morales, des religions, des moeurs : l'attitude prise devant la souffrance des animaux. » <p.41>
« Un pays qui n'ose pas interdire la chasse à courre, les combats de coqs ou les courses de taureaux a-t-il le droit de se prétendre civilisé ? On peut en douter. » <p.43>
Frédéric DARD / Les pensées de San-Antonio / Le cherche midi éditeur 1996
« Si tu veux que les chiots de ta chienne soient bien traités, ne les donne pas, vends-les. » <p.79>
Philippe BOUVARD / Journal 1992-1996 / Le cherche midi éditeur 1997
« Les hamsters ne connaissent pas leur bonheur qui bénéficient des nouveaux médicaments aux effets miraculeux cinq années avant les hommes. » <p.16>
Michel POLAC / Journal (1980-1998) / PUF 2000
« Les amis des bêtes se révèlent de redoutables ennemis des hommes. » <juillet 1982, p.90>
Jean-Marie GOURIO / Brèves de comptoir (t.1) / Robert Laffont - Bouquins 2002
« Y'a pas plus fidèle que ces chiens-là, c'est une vraie galère pour les abandonner ! » <p.267>
Jean-Marie GOURIO / Brèves de comptoir (t.2) / Robert Laffont - Bouquins 2002
« L'applaudissement, ça vient de l'otarie. » <p.939>